deb10photopera/inc_constantes.php-CD=utf8
ICI index standard
Travaux d'auteurs sur un thème
Série photographique réalisée en juin et juillet 2003, à l'occasion d'une bourse- résidence d'artiste à New York pour une période de 6 mois octroyée par les affaires culturelles du DIP du canton de Genève.
[Rédaction Photopera]
Projet documentaire conceptuel sur une thématique de société
[Rédaction Photopera]
Un travail sur les images et les textes dans le langage télévisuel.
[Rédaction Photopera]
Oeuvres de Max Jacot et Julie Sauter.
Personnages en grandeur réelle composés par assemblage de morceaux de tirages barytés. Certains thèmes s'inspirent de la peinture de la renaissance, d'autres oeuvres transposent dans une optique graphique l'imagerie du spectacle (musique, théâtre, opéra).
[Rédaction Photopera]
New York 97-98, passants et rituels urbains
[Rédaction Photopera]
New York, une année après, visages dans les ruesâ¦
[Rédaction Photopera]
Présentées en polyptyques (allant du triptyque à des séries de près de 50 images), soigneusement alignées dans des cadres sous verre acrylique que lâartiste appelle des boîtes, les images dâHumerose se reconnaissent à leurs traits stylistiques forts: noir/blanc, très petits formats, lumière sombre, presque épaisse, et rendu extrêmement dense des noirs, contrastant avec des éclats très lumineux.
[Rédaction Photopera]
Début 1999, Gérard Pétremand a photographié Genève, Tampere (Finlande) et Sarajevo, en choisissant des lieux communs - les topiques - dans le continuum territorial urbain.
[Rédaction Photopera]
Le parasol est devenu un emblème, un symbole qui fait partie de la mythologie de notre monde moderne.
I l exprime notre besoin nostalgique de mer, de soleil et de grands horizons.
I l représente le beau temps, le bien-être, lâoisiveté et lâinsouciance.
Dans lâicône moderne du Paradis, Adam et Eve sont vautrés sur des chaises longues, sous un parasol, quelque part en Grèce ou aux Seychelles.
Lâindustrie balnéaire en a fait son enseigne et le rêve est à louer.
La journée, sur les plages, les parasols sâalignent comme une armée servile, mais dès que vient la nuit, ils semblent errer, hagards, comme des travailleurs désÅuvrés.
Certains se penchent et paraissent conspirer, dâautres gonflent leurs joues comme pour siffloter mais les plus fiers restent à lâécart, pensifs et solitaires dans leurs habits de bouffons.
[Rédaction Photopera]
[Rédaction Photopera]